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Critique de Laehb80
L'Ophélia, trois-mâts flambant neuf pend la mer pour la première fous et après plusieurs escales, se dirige vers le canal du Mozambique.
Le capitaine est un original, un homme bourru, nerveux, alcoolique et surtout nu quasiment tout le temps. Pas vraiment de cohésion d'équipage, un capitaine ignoré ou méprisé, et ce qui devait arriver arriva : une nuit alors qu'il est à la barre, le capitaine envoie le bateau sur des écueils.
Ambiance lourde et pesante comme la touffeur du climat, assez oppressante comme la promiscuité ressentie et subie à bord, j'ai beaucoup aimé ce court roman d'un duo d'auteurs récompensés du Goncourt en 1909, ce roman est un témoignage du temps des colonies et des merveilles des paysages lointains.
Le capitaine est un original, un homme bourru, nerveux, alcoolique et surtout nu quasiment tout le temps. Pas vraiment de cohésion d'équipage, un capitaine ignoré ou méprisé, et ce qui devait arriver arriva : une nuit alors qu'il est à la barre, le capitaine envoie le bateau sur des écueils.
Ambiance lourde et pesante comme la touffeur du climat, assez oppressante comme la promiscuité ressentie et subie à bord, j'ai beaucoup aimé ce court roman d'un duo d'auteurs récompensés du Goncourt en 1909, ce roman est un témoignage du temps des colonies et des merveilles des paysages lointains.
