330 pages tout de même. Peeters dessine toujours en noir et blanc avec des nuances de gris. la BD commence comme une histoire classique et actuelle, puis se poursuit sur le mode polar pour terminer dans un cadre fantastique.
Mais comme si c'était une histoire contemporaine, on croise des parisiens, je reconnais des quartiers familiers à ARCUEIL avec le viaduc vers Cachan. Et puis l'intrigue prend, on remonte dans les souvenirs, on commence à rencontrer des gens peu ordinaires. Les traversants sont évoqués... à partir de là, difficile d'en dire plus sans altérer le suspens.
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