Le Berserker en chie des ronds de chapeau.
Un monde dont il ignore tout.
Une langue qui lui est aussi étrangère que celle de la moralité pour un politique.
Bref, le gars broie du noir tout en continuant de faire confiance à son néo meilleur ami, un sans-abri aussi dérouté que notre montagne de rancoeur en mal de vendetta.
Douloureuses, les représailles, si possible.
Dessins toujours aussi captivants.
Scénario un chouia répétitif sur le thème de l'incompréhension mutuelle.
Le tout se lit malgré tout ultra rapidement, les 26 feuillets aidant, en mode frustration affiché.
Série à découvrir les quatre opus sous le coude au risque de bisquer sévère au terme de chaque um (quart d'album).
To be continued...
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