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Critique de ramettes


D'entrée de jeu on sait que ça finira mal ...

Dans « Jugan », on revient en partie sur des périodes clés 82-84 / 2002 /2012. Je me rends compte qu'à chaque fois qu'on aborde la violence de la fin des années 70 début 80, j'ai des lacunes car j'étais gamine. Je sais que je vois à travers le prisme de l'auteur mais après j'essais de faire la part des choses entre réalité et fiction, entre opinion publique et privée.

Ce roman joue avec trois présents ou deux passés selon les moments. La narration débute avec les troubles du narrateur dont l'origine remonte à 2002, moment où il a vécu une expérience traumatisante. Quand on se trouve en 2002 il découvre le passé de Jugan et de Clotilde. Mais cela ne suffit pas à éviter le drame.

Jugan sort de prison après 18 ans, il est en liberté conditionnelle pour actes terroristes. Il sort le visage complètement défiguré. Il revient avec un côté encore plus sombre et trouve que la société va encore plus mal. On a avant, après et maintenant qui s'entremêlent, mais ce n'est pas gênant pour le lecteur. Il y a l'idée de boucle d'éternel recommencement.[...]
Lien : http://ramettes.canalblog.co..
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