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Critique de gill
"Son premier bal" est une comédie en un acte. Elle a été représentée, pour la première fois, à Paris, en mars 1938, au théâtre Charles de Rochefort, à l'occasion du XXXème gala de la pièce en un acte.
L'intrigue, assez banale et désuète, n'est que prétexte.
L'intérêt du morceau était, sur scène, amplifié par le jeu des artistes et le mouvement des scènes. A la lecture, aujourd'hui, l'effet comique tient, tout entier, dans l'esprit, la rapidité et la verve des répliques.
La jeune mère de Lucienne s'apprête à la conduire au bal de l'Industrie.
Auparavant elle consulte la tante Clémence et la tante Caroline qui ne s'avèrent pas, pour des raisons différentes, favorables à ce projet.
Il serait une dépense inutile sans réelle espoir de trouver un mari à Lucienne.
Pourtant les deux tantes proposent, chacune en aparté et en secret, de conduire la jeune fille après avoir payé les frais de toilette, au bas mot 600 francs pour la robe, les souliers, les bas, les gants et le coiffeur.
Les deux vieilles filles se retrouvent face à face et se lancent, le plus gaîment du monde, les plus véhéments reproches.....
Hier l'on dansait la valse, la polka, la mazurka, le quadrille et la scottish.
Aujourd'hui, l'on se perd en dansant le fox-trot et le tango
Il n'y a rien de plus dangereux qu'un bal pour une jeune fille !
Ce petit acte, court et désuet, est un morceau, amusant et sans prétention, que l'on lit avec plaisir mais qui est aussi vite oubliée que refermé.
C'est un ancien petit moment de fantaisie que l'on croise par hasard.
L'intrigue, assez banale et désuète, n'est que prétexte.
L'intérêt du morceau était, sur scène, amplifié par le jeu des artistes et le mouvement des scènes. A la lecture, aujourd'hui, l'effet comique tient, tout entier, dans l'esprit, la rapidité et la verve des répliques.
La jeune mère de Lucienne s'apprête à la conduire au bal de l'Industrie.
Auparavant elle consulte la tante Clémence et la tante Caroline qui ne s'avèrent pas, pour des raisons différentes, favorables à ce projet.
Il serait une dépense inutile sans réelle espoir de trouver un mari à Lucienne.
Pourtant les deux tantes proposent, chacune en aparté et en secret, de conduire la jeune fille après avoir payé les frais de toilette, au bas mot 600 francs pour la robe, les souliers, les bas, les gants et le coiffeur.
Les deux vieilles filles se retrouvent face à face et se lancent, le plus gaîment du monde, les plus véhéments reproches.....
Hier l'on dansait la valse, la polka, la mazurka, le quadrille et la scottish.
Aujourd'hui, l'on se perd en dansant le fox-trot et le tango
Il n'y a rien de plus dangereux qu'un bal pour une jeune fille !
Ce petit acte, court et désuet, est un morceau, amusant et sans prétention, que l'on lit avec plaisir mais qui est aussi vite oubliée que refermé.
C'est un ancien petit moment de fantaisie que l'on croise par hasard.
