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Critique de paperborn
Les premières lignes de ce livre comptent parmi les meilleures que j'ai jamais lues. Et puis après une cinquantaine de pages, j'ai déchanté.
Je m'attendais à un roman qui suit une jeune femme indépendante et ambitieuse, intelligente et machiavélique. À la place, j'ai eu une sale gosse pourrie gâtée qui croit que tout lui est dû, et qui est franchement loin d'être aussi maline qu'elle se croit. L'aspect politique, les complots et les manigances étaient clairement "surcotées" : c'était si basique qu'on se croirait dans la cour de l'école primaire ; ça parait ridicule quand on a déjà lu auparavant le Trône de Fer ou encore Prince Captif. Si l'on ajoute à cela l'aspect dramatique (que j'apprécie beaucoup habituellement) utilisé à tout bout de chant, de manière exagérée et excessive, j'ai plus eu l'impression de lire une parodie qu'un bouquin de dark fantasy (quand bien même il s'agit de young adult). J'avais entendu beaucoup de bien de ce livre, donc je suis considérablement déçue.
Je m'attendais à un roman qui suit une jeune femme indépendante et ambitieuse, intelligente et machiavélique. À la place, j'ai eu une sale gosse pourrie gâtée qui croit que tout lui est dû, et qui est franchement loin d'être aussi maline qu'elle se croit. L'aspect politique, les complots et les manigances étaient clairement "surcotées" : c'était si basique qu'on se croirait dans la cour de l'école primaire ; ça parait ridicule quand on a déjà lu auparavant le Trône de Fer ou encore Prince Captif. Si l'on ajoute à cela l'aspect dramatique (que j'apprécie beaucoup habituellement) utilisé à tout bout de chant, de manière exagérée et excessive, j'ai plus eu l'impression de lire une parodie qu'un bouquin de dark fantasy (quand bien même il s'agit de young adult). J'avais entendu beaucoup de bien de ce livre, donc je suis considérablement déçue.
