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Critique de dido600


En 1960, jacques Dutronc
étudiant aux Arts décoratif .
consacre une partie de son
temps à la musique et à la gui tare.
En dilettante particulièrement
doué, il pique mieux que
personne le son des Shadovvs
et fait les beaux jours de
groupes tels que Les Cyclones
et Les Fantômes.
Il devient l'assistant de
jacques Wolfsohn au service
artistique de la maison de disques
Vogue.
j acques Lanzmann, qui passait
par là, lui propose des
textes suffisamment originaux
pour lui inspirer quelques
musiques. Ne trouvant personne
pour les enregistrer, jacques
Wolfsohn le convainc de tenter
une bande d'essai le résultat
est connu de tout le monde
Et moi et moi et moi, les sept
cents millions de Chinois font
vendre des milliers de disques
en 1966.
Le ton est donné, Dutronc
n'aura pas besoin de se composer
une image, il s'amuse du
pire et même de son succès.
Les Cactus, j 'aime les.fl!les, Les
Play-boys, L'Hôtesse de l 'air,
sont autant de tubes, qui , fait
rarissime, réconcilient l'écoute
et la danse.
Son cynisme goguenard
nous plaît ; mi eux, il est salutaire
et réconfortant. Mis à part
sa réussite au cinéma (qui n'est
pas rien !), Dutronc n'a pas
changé.
Au gré de sa fantaisie, et
sans se soucie r des modes, il
nous livre, de temps à autre,
une brassée de nouvelles chansons,
fidèles à son style et à
ce que nous aimons attendre
de lui.
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