11 nouvelles qui dénoncent avec subtilité les réalités du quotidien chinois sous Mao mais aussi sous ses successeurs et son nouveau et tyrannique maître, le capitalisme.
Les histoires de Yijun Li prennent une valeur de témoignage sociologique sur l'évolution vertigineusement rapide de la superpuissance asiatique. du coup, on comprend que cette jeune auteure, qui écrit en anglais (une langue qu'elle a apprise il y a juste 6 ans) ait été publiée dans le New Yorker et remporté une quantité de prix littéraires.
Une écriture simple et sans fioritures au service d'histoires pleines d'empathie, touchantes de justesse et d'authenticité.
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