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Critique de 5Arabella


Le narrateur nous conte sa vie. Devant un micro, car il n'a jamais pu lire ni écrire, pas parce qu'il n'est pas intelligent, il le serait peut être même plus que la moyenne. Les médecin appellent cela alexie, cette incapacité spécifique à l'apprentissage de la lecture. Mais notre narrateur n'a pas la même analyse et considère que n'avoir pas appris à lire est une chance. Même s'il n'a pas appris à lire, il adore la littérature. Son grand-père dans son enfance lui a racontée énormément de livres, et plus tard il apprécie qu'on lui fasse la lecture, et comme sa mémoire fabuleuse lui permet de retenir, il peut raconter dans les moindres détails tous ces livres. Mais le livre qui l'a vraiment marqué est un livre sans texte, c'est la fameuse Bible de Gustave Doré qu'il a découvert presque à la naissance et qu'il a exploré jusqu'à ce que le livre lui soit ôté.

Une lecture pas déplaisante, mais j'ai la sensation que d'ici quelques mois je ne m'en souviendrai absolument plus. Je n'ai pas véritablement été touchée par ce personnage, ce qu'il avait à nous dire ne m'a jamais vraiment surpris. La lettre du père, était prévisible au possible, comme si on avait pas immédiatement compris que le problème se situait là. Il y a quand même des passages plutôt bien écrits qui ont fait que je n'ai pas eu envie d'abandonner la lecture, mais cela ne me donne pas vraiment envie de continuer d'explorer l'univers de l'auteur. Trop peu de contenu pour moi, uniquement de l'émouvant, ou supposé tel pour essayer de déclencher chez le lecteur la fibre compassionelle. Enfin c'est comme cela que je l'ai ressenti.
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