Bien plus coloré qu'un long Halloween, Amère victoire n'en est pas moins sombre ou moins ambitieux. Les planches se juxtaposent ou se complètent, le bestiaire de villains et d'alliés s'étoffe. Et pour qui, comme moi, entame ainsi l'univers, on a l'impression d'une pièce de théâtre exhaustive où tous les acteurs se présentent au lecteur néophyte pour mener à bien une très très longue enquête.
Une belle introduction à l'entourage fourmillant de l'homme qui se dit solitaire. Et malgré l'obscurité, sans conteste solaire.
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