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Critique de Billygirl
Ce petit livre est une pièce de théâtre, elle commence dans un café où Dom Juan - L'Homme - est attablé, un Dom Juan que l'on nous situe vieillissant, comme usé, croulant sous le poids de toutes ses expériences, portant son lourd vécu, ne chassant plus, ayant renoncé à tous ses vices, n'attendant plus rien... Il cherche à repousser une jeune femme - La Femme - voulant s'assoir à sa table...
... Et nous le retrouvons dans une impasse sombre et sordide, interpellant La Femme ; il est arrogant, agressif, grossier, il cherche à provoquer une réaction chez elle, une attirance l'y pousse irrésistiblement, comme un réflexe, elle a l'air d'une proie mais en est-elle une ? C'est le comportement inverse de celui qu'il aurait adopté jadis, celui sucré du grand séducteur.
Mais La Femme n'est pas une innocente victime, elle lui répond, violente.
Dom Juan est-il encore un prédateur ou est-ce lui la proie dans ce jeu des attirances... il est toujours attablé et La Femme s'assoit, prédatrice...
Une belle et sombre ambiance et la très forte personnalité de ce Dom Juan au bout du rouleau rend tout cela fort attrayant.
Les dialogues sont finement écris et c'est en suivant le fil de cette joute verbale qui nous approche petit à petit de sa conclusion que l'on cherche, puis comprend, où l'auteur veut en venir.
... Et nous le retrouvons dans une impasse sombre et sordide, interpellant La Femme ; il est arrogant, agressif, grossier, il cherche à provoquer une réaction chez elle, une attirance l'y pousse irrésistiblement, comme un réflexe, elle a l'air d'une proie mais en est-elle une ? C'est le comportement inverse de celui qu'il aurait adopté jadis, celui sucré du grand séducteur.
Mais La Femme n'est pas une innocente victime, elle lui répond, violente.
Dom Juan est-il encore un prédateur ou est-ce lui la proie dans ce jeu des attirances... il est toujours attablé et La Femme s'assoit, prédatrice...
Une belle et sombre ambiance et la très forte personnalité de ce Dom Juan au bout du rouleau rend tout cela fort attrayant.
Les dialogues sont finement écris et c'est en suivant le fil de cette joute verbale qui nous approche petit à petit de sa conclusion que l'on cherche, puis comprend, où l'auteur veut en venir.
