J’ai été souillée par une phrase magnifique en amont de l’orgasme. Le plaisir est un orage qui foudroie les draps défaits. J’écris en attendant le métro, dépouillée des images que mon plaisir a éveillées. Mes sensations sont le plus souvent des choses mystérieuses, fugaces et impénétrables, indissociables de l’instant.
J’oublierais H. Je voulais retrouver le désir puissant, le désir sans, le désir avant H., le désir seule et plonger dans un scintillement orgasmique.