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Critique de Wyoming
Beau livre pour découvrir le continent antarctique, ses beautés froides, glaciales même, sa végétation misérable mais tenace, ses oiseaux si nombreux, ses mammifères gigantesques comme les baleines, plus modestes tels que les phoques, otaries ou éléphants de mer.
L'auteur retrace la genèse de la création de ce continent et développe en termes accessibles la formation de ce bout du monde si essentiel pour la survie de ce dernier.
Il présente ensuite la population nombreuse de l'océan, le mode de vie des plus petits, comme le le phyto-plancton jusqu'à celui des géants comme la baleine à bosse.
Icebergs gigantesques, mettant quelquefois des décennies pour fondre, épaisseur phénoménale de glace, sommets les plus hauts du monde en tenant compte du volume de glace qui les porte, Mike Lucas livre toute une palette de couleurs où le bleu domine, celui de la mer, de la glace ou du ciel.
Un dernier chapitre est consacré à la présence de l'homme qui a voulu à tout prix, même celui de leur vie pour les premiers explorateurs, pénétrer l'intérieur de ce monde hostile et atteindre le Pôle Sud. Ainsi des noms célèbres et les odyssées qui les accompagnent sont cités : Cook, Scott, Amundsen, Shakleton tous ces héros de la conquête du pôle.
Le regard de l'auteur est plus sombre sur l'exploitation des richesses de ce continent, qu'elles proviennent du sou-sol, des populations de poissons, krill, manchots ou baleines. Il s'éclaircit quelque peu devant la prise de conscience trop récente de la nécessité de protéger ce patrimoine, malgré les enjeux financiers qu'il peut susciter.
Belle lecture rafraîchissante dans la chaleur de l'été.
L'auteur retrace la genèse de la création de ce continent et développe en termes accessibles la formation de ce bout du monde si essentiel pour la survie de ce dernier.
Il présente ensuite la population nombreuse de l'océan, le mode de vie des plus petits, comme le le phyto-plancton jusqu'à celui des géants comme la baleine à bosse.
Icebergs gigantesques, mettant quelquefois des décennies pour fondre, épaisseur phénoménale de glace, sommets les plus hauts du monde en tenant compte du volume de glace qui les porte, Mike Lucas livre toute une palette de couleurs où le bleu domine, celui de la mer, de la glace ou du ciel.
Un dernier chapitre est consacré à la présence de l'homme qui a voulu à tout prix, même celui de leur vie pour les premiers explorateurs, pénétrer l'intérieur de ce monde hostile et atteindre le Pôle Sud. Ainsi des noms célèbres et les odyssées qui les accompagnent sont cités : Cook, Scott, Amundsen, Shakleton tous ces héros de la conquête du pôle.
Le regard de l'auteur est plus sombre sur l'exploitation des richesses de ce continent, qu'elles proviennent du sou-sol, des populations de poissons, krill, manchots ou baleines. Il s'éclaircit quelque peu devant la prise de conscience trop récente de la nécessité de protéger ce patrimoine, malgré les enjeux financiers qu'il peut susciter.
Belle lecture rafraîchissante dans la chaleur de l'été.
