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Critique de Pantoufledevair
Je cherchais un roman. J'avais envie –comme souvent- de voyager, de sortir de mon corps pendant quelques instants. Puis mes yeux se sont posés sur Un Palais d'épines et de roses. Je l'ai pris et j'ai lu la 4ème de couverture. Etant une grande fan du conte La Belle et la bête, je me suis dit que je passerai un bon moment avec cette oeuvre. Je me la suis donc procurée. J'étais intriguée, prête à voyager, même si je supposais le terrain connu. Mais j'ai été surprise.
J'ai commencé ma lecture et j'ai vite retrouvé ce contexte de la « Bête » et de la « Belle » aménagé dans un autre univers (mortels, Fäe, monde magique, …). Sachant à quoi m'attendre, je continuai à faire défiler les pages quand je me suis brusquement posé la question alors que le dénouement du « conte » était censé être proche : « Mais ! à quoi peuvent bien toutes ces pages restantes ? », puis plus loin : « Pourquoi l'auteur raconte-t-elle ça ? ». Cette oeuvre est une revisite du conte La Belle et la bête mais le dénouement est très différent de celui connu.
J'ai enchainé avec Un Palais de colère et de brume et Un Palais de cendres et de ruines. J'ai finalement fermé la trilogie, l'esprit mitigé. Certes, ces oeuvres m'ont fait voyager, mais il est nécessaire de garder à l'esprit que cette littérature s'adresse aux adolescents (fin de collège, lycée). Elle est encore un peu naïve et immature, tant dans son vocabulaire (un peu grossier), que son discours ou ses personnages. Puis je me suis emmêlée les pinceaux devant les caractéristiques des personnages que je leur croyais propre, comme la possibilité du tamisage.
Ces oeuvres n'ont pas entièrement répondues à mes attentes, mais elles m'ont emmenées loin, c'est le principal.
J'ai commencé ma lecture et j'ai vite retrouvé ce contexte de la « Bête » et de la « Belle » aménagé dans un autre univers (mortels, Fäe, monde magique, …). Sachant à quoi m'attendre, je continuai à faire défiler les pages quand je me suis brusquement posé la question alors que le dénouement du « conte » était censé être proche : « Mais ! à quoi peuvent bien toutes ces pages restantes ? », puis plus loin : « Pourquoi l'auteur raconte-t-elle ça ? ». Cette oeuvre est une revisite du conte La Belle et la bête mais le dénouement est très différent de celui connu.
J'ai enchainé avec Un Palais de colère et de brume et Un Palais de cendres et de ruines. J'ai finalement fermé la trilogie, l'esprit mitigé. Certes, ces oeuvres m'ont fait voyager, mais il est nécessaire de garder à l'esprit que cette littérature s'adresse aux adolescents (fin de collège, lycée). Elle est encore un peu naïve et immature, tant dans son vocabulaire (un peu grossier), que son discours ou ses personnages. Puis je me suis emmêlée les pinceaux devant les caractéristiques des personnages que je leur croyais propre, comme la possibilité du tamisage.
Ces oeuvres n'ont pas entièrement répondues à mes attentes, mais elles m'ont emmenées loin, c'est le principal.
