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Critique de Ndiwwa
10 jours que je suis en immersion complète dans ce livre impossible à décrire.
Commençons par une étiquette «Literary Science Fiction» comme si la science fiction ne pouvait pas être littéraire🙄
Ce qui est sur c'est que ce roman est très bien écrit, un rythme narratif lent,immersif avec un brin de nostalgie qui le rend poétique: un rythme qui en devient presque hypnotique.
Dans un futur proche,Leigh grandit à Rotterdam auprès d'un père violent,d'une mère absente et une soeur à son opposé. Alors qu'elle songe à mettre fin à ses jours,elle fait une expérience transcendante, immergée dans l'eau, elle prend conscience de la présence omniprésente de la vie et décide de consacrer sa vie à l'exploration de la vie sous-marine, dans l'espoir de percer le mystère de l'origine de la vie sur terre.
Son obsession la mènera à rejoindre une expédition scientifique ultra-secrète à la frontière d'une fosse atlantique, la plus profonde jamais identifiée sur terre. Ce qu'elle y expérimentera et y découvrira va sceller son destin, bouleverser les connaissances scientifiques et la mener vers un voyage aux confins de notre univers connu, dans un voyage interstellaire destinée à poursuivre le questionnement qui l'obsède: d'où vient la vie, sommes-nous seuls et qu'est-ce qui fait de nous des humains…
Un livre qui aborde aussi le questionnement des relations familiales, de la solitude, de l'impossibilité parfois de comprendre ce qui se passe dans la tête de nos proches, mystère presque plus insondable que celui de l'univers, notre univers intime et affectif.
Un livre unique, à la frontière entre tous les genres et qui en fait un ovni, une réflexion philosophique,qui questionne laisse l'interprétation ouverte.
Je ne reste pas sur ma faim,je suis en profonde réflexion et méditation même: je lis pour être questionnée, bousculée, retournée, transformée parfois, déboussolée aussi, aussi inconfortable que cela puisse être parfois, pour mieux me réancrer et regarder les choses avec un regard neuf…
je finis sur les paroles de Leigh:
«I'm glad at the end to be part of this, not endings but beginnings, new worlds in transformation, new eternities, new life»
Commençons par une étiquette «Literary Science Fiction» comme si la science fiction ne pouvait pas être littéraire🙄
Ce qui est sur c'est que ce roman est très bien écrit, un rythme narratif lent,immersif avec un brin de nostalgie qui le rend poétique: un rythme qui en devient presque hypnotique.
Dans un futur proche,Leigh grandit à Rotterdam auprès d'un père violent,d'une mère absente et une soeur à son opposé. Alors qu'elle songe à mettre fin à ses jours,elle fait une expérience transcendante, immergée dans l'eau, elle prend conscience de la présence omniprésente de la vie et décide de consacrer sa vie à l'exploration de la vie sous-marine, dans l'espoir de percer le mystère de l'origine de la vie sur terre.
Son obsession la mènera à rejoindre une expédition scientifique ultra-secrète à la frontière d'une fosse atlantique, la plus profonde jamais identifiée sur terre. Ce qu'elle y expérimentera et y découvrira va sceller son destin, bouleverser les connaissances scientifiques et la mener vers un voyage aux confins de notre univers connu, dans un voyage interstellaire destinée à poursuivre le questionnement qui l'obsède: d'où vient la vie, sommes-nous seuls et qu'est-ce qui fait de nous des humains…
Un livre qui aborde aussi le questionnement des relations familiales, de la solitude, de l'impossibilité parfois de comprendre ce qui se passe dans la tête de nos proches, mystère presque plus insondable que celui de l'univers, notre univers intime et affectif.
Un livre unique, à la frontière entre tous les genres et qui en fait un ovni, une réflexion philosophique,qui questionne laisse l'interprétation ouverte.
Je ne reste pas sur ma faim,je suis en profonde réflexion et méditation même: je lis pour être questionnée, bousculée, retournée, transformée parfois, déboussolée aussi, aussi inconfortable que cela puisse être parfois, pour mieux me réancrer et regarder les choses avec un regard neuf…
je finis sur les paroles de Leigh:
«I'm glad at the end to be part of this, not endings but beginnings, new worlds in transformation, new eternities, new life»
