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Critique de Barnegat
Connie, rousse, fille d'un Cimmérien et d'une Hyrkannienne, est native de Clithéria, un village au coeur d'une terre isolée quelque part au Nord du Monde Hyboirien, Hysteria. Lasse de la monotonie locale – c'est-à-dire se battre, boire de la bière, faire des galipettes et recommencé, décide de parcourir le Monde, de découvrir les pays, courir l'aventure.
Connie, la barbare va croiser la mère supérieure du monastère de Salzikmu et ses Novices (Clito, Cyprine, Squirte, Nymphes), au moment où elles sont agressées des guerriers du roi Fashionvik ; un aubergiste et sa femme, les seuls qui n'ont pas fuis leur village malgré l'Eclipse ; le Petit Comte Frémi qui cherche à sauver sa promise, la Duchesse de Lunefendue, des Ogres, la Sorcière…
Le dessin de Gianluca Maconi, qui a été lauréat du Prix Miccia de la meilleure et de celui de Boscarato, est excellent. Il s'applique amoureusement de représenter parfaitement les protagonistes féminins. Surtout Connie, qui a des allures de Pelisse – (La Quête de l'Oiseau du temps, de Régis Loisel) -, de Merida, rouquine et Rebelle, qui préfère être l'Exploratrice des montagnes des Highlands… et bien d'autres.
C'est indéniablement un pastiche érotico-fantastique avec de l'humour.
Bien construit. le coup de coeur : l'acte II et la planche d'ouverture – Connie portant un sanglier en pénétrant dans l'auberge.
Toutefois, un petit regret. L'intrigue plus étoffée avec comme fil d'Ariane le passé de Connie et le monde qu'elle a quitté, des retours en arrière.
Il est certain qu'on apprendra davantage sur Connie- l'attachante rouquine- dans les deux tomes qui vont suivre.
Je les lirai, sans aucune honte.
La nuit Gloriole, premier tome de Connie, la barbare, est ma première critique dans le cadre de Masse-Critique. Je remercie Babelio de cette opportunité et les Editions Tabou.
Connie, la barbare va croiser la mère supérieure du monastère de Salzikmu et ses Novices (Clito, Cyprine, Squirte, Nymphes), au moment où elles sont agressées des guerriers du roi Fashionvik ; un aubergiste et sa femme, les seuls qui n'ont pas fuis leur village malgré l'Eclipse ; le Petit Comte Frémi qui cherche à sauver sa promise, la Duchesse de Lunefendue, des Ogres, la Sorcière…
Le dessin de Gianluca Maconi, qui a été lauréat du Prix Miccia de la meilleure et de celui de Boscarato, est excellent. Il s'applique amoureusement de représenter parfaitement les protagonistes féminins. Surtout Connie, qui a des allures de Pelisse – (La Quête de l'Oiseau du temps, de Régis Loisel) -, de Merida, rouquine et Rebelle, qui préfère être l'Exploratrice des montagnes des Highlands… et bien d'autres.
C'est indéniablement un pastiche érotico-fantastique avec de l'humour.
Bien construit. le coup de coeur : l'acte II et la planche d'ouverture – Connie portant un sanglier en pénétrant dans l'auberge.
Toutefois, un petit regret. L'intrigue plus étoffée avec comme fil d'Ariane le passé de Connie et le monde qu'elle a quitté, des retours en arrière.
Il est certain qu'on apprendra davantage sur Connie- l'attachante rouquine- dans les deux tomes qui vont suivre.
Je les lirai, sans aucune honte.
La nuit Gloriole, premier tome de Connie, la barbare, est ma première critique dans le cadre de Masse-Critique. Je remercie Babelio de cette opportunité et les Editions Tabou.
