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Critique de Tortellini
J'ai terminé la lecture de cette trilogie par ce texte, cette fois-ci la connexion s'effectue via Ariel, qui se trouve être la meilleure amie de Larsen et la voisine de I. et d'Éos.
Ce texte s'il m'a moins agacé que le précédent, ne m'a pas émoustillé non plu. J'ai trouvé que l'histoire était sans grand intérêt.
Cette dernière, contrairement au deux précédentes, est divisées en deux parties. Dans la première Ariel se trouve avec son petit ami de longue date (soit depuis deux mois, oui je suis vilaine, mais Ariel m'a agacé alors j'ai le droit d'être de mauvaise fois !) et elle décide de franchir le pas avec lui (pour ceux qui ne comprendraient pas le sous-entendu, elle veut perdre sa virginité). Son mec, malheureusement, n'assure pas vraiment et semble se moquer de son plaisir à elle, ce qui en toute logique agace la demoiselle. Lui de son côté lui demande si elle a apprécié (genre il y a des mecs qui font ça ?!) et là ça part en cacahuète. Ils s'insultent et ils finissent par se séparer avec perte et fracas. Ce qui nous mène à la seconde partie, où Ariel fait la connaissance d'un jeune homme, Brett, ivre sous un abris bus. Leur discussion, entrecoupée de ce qui m'a semblé être une apologie de l'alcool (et en même temps l'auteure dit que c'est mal de boire, et pourtant ils consomment de l'alcool comme des puits sans fin ...) est d'un inintérêt croissant. Il ne se passent rien, on apprend rien et ça débouche sur ... rien.
Bref, vous aurez compris mon ressenti face à ce texte, je ne vais donc pas m'étendre plus longuement.
Lien : https://livrestcedelanuit.wo..
Ce texte s'il m'a moins agacé que le précédent, ne m'a pas émoustillé non plu. J'ai trouvé que l'histoire était sans grand intérêt.
Cette dernière, contrairement au deux précédentes, est divisées en deux parties. Dans la première Ariel se trouve avec son petit ami de longue date (soit depuis deux mois, oui je suis vilaine, mais Ariel m'a agacé alors j'ai le droit d'être de mauvaise fois !) et elle décide de franchir le pas avec lui (pour ceux qui ne comprendraient pas le sous-entendu, elle veut perdre sa virginité). Son mec, malheureusement, n'assure pas vraiment et semble se moquer de son plaisir à elle, ce qui en toute logique agace la demoiselle. Lui de son côté lui demande si elle a apprécié (genre il y a des mecs qui font ça ?!) et là ça part en cacahuète. Ils s'insultent et ils finissent par se séparer avec perte et fracas. Ce qui nous mène à la seconde partie, où Ariel fait la connaissance d'un jeune homme, Brett, ivre sous un abris bus. Leur discussion, entrecoupée de ce qui m'a semblé être une apologie de l'alcool (et en même temps l'auteure dit que c'est mal de boire, et pourtant ils consomment de l'alcool comme des puits sans fin ...) est d'un inintérêt croissant. Il ne se passent rien, on apprend rien et ça débouche sur ... rien.
Bref, vous aurez compris mon ressenti face à ce texte, je ne vais donc pas m'étendre plus longuement.
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