Une quatrième de couverture un peu trop bavarde ! Mais quel plaisir toujours à lire
Parker BILAL ! Une narration très romancée qui n'enlève rien au côté polar, un vocabulaire choisi, introduisant des expressions de langue arabe et à nouveau, une plongée dans les quartiers populaires du Caire qui, si elle n'invite pas au voyage, révèle les bas-fonds d'un pays bouleversé par la main-mise politique des "Frères musulmans", par une corruption rampante.
Makana est un ex-flic très attachant et certains personnages, dessinés dans le précédent roman (
Les écailles d'or, chroniqué ici), réapparaissent et sèment le trouble.
Polar social, polar presque politique, cet opus est très réussi, et, conquise, je suis sûre de lire les prochains tomes à paraître !
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