>
Critique de CorinneDuran
Pour moi, ce livre est avant tout une histoire d'Amours, au pluriel.
La protagoniste a une capacité à aimer singulière, à tels point que oui effectivement on peut la trouver naïve. Moi je dirais tout simplement qu'elle est passionnée et que c'est un vrai coeur d'artichaut. Sa relation avec Etienne est sombre et intense, mais nécessaire car c'est cette histoire-là qui va la mener à découvrir cette autre histoire, celle d'un passé trouble, violent, douloureux. Un autre récit qui raconte la peur, la guerre, la déportation, l'injustice, l'horreur.
Le thème abordé n'est pas ce vers quoi je vais de prime abord si je veux passer un bon moment. Je n'aime pas les drames et la guerre encore moins et pourtant je me suis immergée dans le récit de la jeune Alicia avec une facilité déconcertante. Sans doute que la plume fluide de l'autrice y est pour beaucoup.
C'est un roman court, 180 pages, construit à la manière d'un journal intime, parfois léger et parfois moins. Une romance contemporaine qui se confond au milieu du livre avec une romance historique où plane le spectre d'un passé nauséabond à Auschwitz, mais ponctué par la musique omniprésente et par des extraits de chansons françaises qui font que ce roman sort vraiment de ce qu'on a l'habitude de lire. Et ça j'aime ! Sans compter la touche de spiritualité qui clôture le récit sublimement avec quelques frissons en prime.
J'ai beaucoup aimé ce roman, il m'a collé une boule dans la gorge dans sa dernière partie et une fois la dernière page tournée, les frissons ne m'ont plus quittée pendant un bon moment. Je crois que c'est un signe que j'ai aimé et si l'autrice se décide à reprendre la plume je la relirai sans hésiter.
La protagoniste a une capacité à aimer singulière, à tels point que oui effectivement on peut la trouver naïve. Moi je dirais tout simplement qu'elle est passionnée et que c'est un vrai coeur d'artichaut. Sa relation avec Etienne est sombre et intense, mais nécessaire car c'est cette histoire-là qui va la mener à découvrir cette autre histoire, celle d'un passé trouble, violent, douloureux. Un autre récit qui raconte la peur, la guerre, la déportation, l'injustice, l'horreur.
Le thème abordé n'est pas ce vers quoi je vais de prime abord si je veux passer un bon moment. Je n'aime pas les drames et la guerre encore moins et pourtant je me suis immergée dans le récit de la jeune Alicia avec une facilité déconcertante. Sans doute que la plume fluide de l'autrice y est pour beaucoup.
C'est un roman court, 180 pages, construit à la manière d'un journal intime, parfois léger et parfois moins. Une romance contemporaine qui se confond au milieu du livre avec une romance historique où plane le spectre d'un passé nauséabond à Auschwitz, mais ponctué par la musique omniprésente et par des extraits de chansons françaises qui font que ce roman sort vraiment de ce qu'on a l'habitude de lire. Et ça j'aime ! Sans compter la touche de spiritualité qui clôture le récit sublimement avec quelques frissons en prime.
J'ai beaucoup aimé ce roman, il m'a collé une boule dans la gorge dans sa dernière partie et une fois la dernière page tournée, les frissons ne m'ont plus quittée pendant un bon moment. Je crois que c'est un signe que j'ai aimé et si l'autrice se décide à reprendre la plume je la relirai sans hésiter.
