>
Critique de Elsaragon
Plus qu'un roman, c'est un conte, de la poésie, et une écriture magnifique, peu avare de beaux mots.
Le désert y est décrit comme je ne l'ai jamais lu. C'est une ode à la beauté du silence, du rien à perte de vue, de cette terre intouchable car vraiment jamais domptée.
La description des hommes qui l'habitent est celle d'hommes respectueux de l'endroit où ils vivent, des traditions séculaires, des veillées autour du feu accompagnés par la musique et les contes des anciens, contes desquels une morale apparaît à chaque fois.
Et si même l'on y parle d'esclavagisme, le mot ne doit pas être pris au sens brut qu'on lui connaît mais plutôt comme une différence de caste.
Quatre de ces esclaves vont donc affronter le grand désert pour assouvir leur rêve de voir ou revoir la ville, faisant face à la douleur, la faim, la soif, convaincus d'y arriver. le destin en décidera autrement, et la ville deviendra ville-mirage.
C'est de la magie à chaque page et je ne peux que remercier masse Critique et les éditions du Crabe de m'avoir fait découvrir cette perle.
Le désert y est décrit comme je ne l'ai jamais lu. C'est une ode à la beauté du silence, du rien à perte de vue, de cette terre intouchable car vraiment jamais domptée.
La description des hommes qui l'habitent est celle d'hommes respectueux de l'endroit où ils vivent, des traditions séculaires, des veillées autour du feu accompagnés par la musique et les contes des anciens, contes desquels une morale apparaît à chaque fois.
Et si même l'on y parle d'esclavagisme, le mot ne doit pas être pris au sens brut qu'on lui connaît mais plutôt comme une différence de caste.
Quatre de ces esclaves vont donc affronter le grand désert pour assouvir leur rêve de voir ou revoir la ville, faisant face à la douleur, la faim, la soif, convaincus d'y arriver. le destin en décidera autrement, et la ville deviendra ville-mirage.
C'est de la magie à chaque page et je ne peux que remercier masse Critique et les éditions du Crabe de m'avoir fait découvrir cette perle.
