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Critique de lolomito
Dés le tout premier chapitre, le lecteur est catapulté directement dans le vif du sujet.
Sans tergiversation aucune, Franco Mannara plante le décor d'emblée : Betty Walters, 20 ans, est séquestrée dans une pièce obscure, sanglée à une table de torture.
Un premier chapitre très court, où la violence est telle que je me suis demandée si j'allais poursuivre ou non ma lecture.
Mais le ton change au second chapitre et j'ai été captivée par l'histoire et par l'écriture carrément addictive de Franco Mannara.
Autour de Zoé, 18 ans, gravitent 5 adultes, amis de longue date.
3 hommes et deux femmes unis comme les doigts de la main à tel point que Mélanie, décédée huit ans plus tôt, ne savait pas lequel des 3 hommes était le père biologique de sa fille Zoé.
Lucas est animateur radio, Stan est flic, Maxime est un artiste tandis que Cristina est galleriste.
Mais au décès de Mélanie, des tensions et des rancoeurs apparaissent, et la belle équipe se disperse.
Jusqu'à la disparition soudaine de Zoé où ils vont à nouveau être amenés à se retrouver pour lever le mystère de cette disparition.
Jusque là, histoire impossible à lâcher. J'ai adoré la construction qui mêle plusieurs types de narrations différentes. L'enquête menée par Stan, les descriptions des émissions de radio conduites par Lucas. Et le monologue mené par Zoé elle-même qui nous relate les conditions dans lesquelles elle évolue.
Et puis … des descriptions d'une violence extreme reprennent de plus belle et j'ai décroché totalement.
Ce roman m'a donc fait osciller tour à tour entre deux sentiments. L'envie de m'y replonger au plus vite et celle de le finir pour enfin passer à autre chose rapidement.
Un auteur que je relirais certainement en espérant que le prochain titre que je choisirais sera plus nuancé que celui-là en terme de violence.
Sans tergiversation aucune, Franco Mannara plante le décor d'emblée : Betty Walters, 20 ans, est séquestrée dans une pièce obscure, sanglée à une table de torture.
Un premier chapitre très court, où la violence est telle que je me suis demandée si j'allais poursuivre ou non ma lecture.
Mais le ton change au second chapitre et j'ai été captivée par l'histoire et par l'écriture carrément addictive de Franco Mannara.
Autour de Zoé, 18 ans, gravitent 5 adultes, amis de longue date.
3 hommes et deux femmes unis comme les doigts de la main à tel point que Mélanie, décédée huit ans plus tôt, ne savait pas lequel des 3 hommes était le père biologique de sa fille Zoé.
Lucas est animateur radio, Stan est flic, Maxime est un artiste tandis que Cristina est galleriste.
Mais au décès de Mélanie, des tensions et des rancoeurs apparaissent, et la belle équipe se disperse.
Jusqu'à la disparition soudaine de Zoé où ils vont à nouveau être amenés à se retrouver pour lever le mystère de cette disparition.
Jusque là, histoire impossible à lâcher. J'ai adoré la construction qui mêle plusieurs types de narrations différentes. L'enquête menée par Stan, les descriptions des émissions de radio conduites par Lucas. Et le monologue mené par Zoé elle-même qui nous relate les conditions dans lesquelles elle évolue.
Et puis … des descriptions d'une violence extreme reprennent de plus belle et j'ai décroché totalement.
Ce roman m'a donc fait osciller tour à tour entre deux sentiments. L'envie de m'y replonger au plus vite et celle de le finir pour enfin passer à autre chose rapidement.
Un auteur que je relirais certainement en espérant que le prochain titre que je choisirais sera plus nuancé que celui-là en terme de violence.
