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Critique de FRANGA
J'ai retrouvé dans ce livre d'Isabel Marie sa difficulté de vivre par rapport à son histoire familiale on ne peut plus compliquée et porteuse de secrets dont elle nous parle si bien dans ce roman.
Ce roman est d'autant plus poignant lorsqu'on apprend page 8 dans une note de l'éditeur qu'Isabel Marie s'est donnée la mort une heure après avoir terminé ce livre.
« Ce roman posthume a donc valeur de testament, de cri ultime.
La vie de l'héroïne se confond, en maints passages, avec celle de son
auteur. S'y dessine l'histoire tragique d'une vie exigeante et douloureuse, passionnée mais retenue. L'histoire d'une vie dont la clef de voûte est la mort choisie et annoncée, seule réponse possible aux questions qu'Isabel Marie se posait depuis toujours ».
Ce roman est d'autant plus poignant lorsqu'on apprend page 8 dans une note de l'éditeur qu'Isabel Marie s'est donnée la mort une heure après avoir terminé ce livre.
« Ce roman posthume a donc valeur de testament, de cri ultime.
La vie de l'héroïne se confond, en maints passages, avec celle de son
auteur. S'y dessine l'histoire tragique d'une vie exigeante et douloureuse, passionnée mais retenue. L'histoire d'une vie dont la clef de voûte est la mort choisie et annoncée, seule réponse possible aux questions qu'Isabel Marie se posait depuis toujours ».
