Exceptionnel !
Le piège d'Arminius se referme sur les troupes romaines de Varus. Marcus a beau s'agiter dans tous les sens, il ne peut rien faire contre l'arrogance et la stupidité de ses chefs.
C'est l'hallali !
Trop tard pour espérer voir la situation s'inverser. On n'a plus qu'à se laisser porter sur les vagues germaines en espérant qu'elles ne noieront pas Marcus et Priscilla.
Carnage !
Orchestré de main de maître par un Marini profondément inspiré. L'auteur nous offre une peinture de la bataille sur une double page qui m'a laissé pantois, hagard et surtout admiratif.
Pas de long épilogue. On laisse l'empereur Auguste crier sa détresse dans les livres d'Histoire.
Et on nous laisse pleurer sur ce désastre, ou hurler notre joie sauvage selon le camp que l'on préfère.
Je ne remercierai jamais assez Alfaric dont les critiques ont attiré mon attention sur cette incroyable série.
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