Le destin, au XVIeme siècle de Guillery, chef des bandits. Séducteur au grand coeur, il ne vole qu'aux riches, les détroussant en leur laissant juste de quoi être pauvres.
Un Robin des bois, fort sympathique, qui finira roué. Les petites gens l'aiment, tandis qu'il ridiculise les collecteurs d'impôts, du roi ou du clergé. De quoi rendre malade les prévôts!
Séduisant, amical, heureux et bon vivant. Un bonheur à lire ; on se prend à rêver de faire partie de sa troupe ou être soi même un Guillery, un Robin des bois ou un Mandrin!
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