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Critique de garanemsa


Maughan Somerset
La lune et soixante-quinze centimes
J'ai bien aimé l'écriture et l'histoire aussi, peut-être ne suis-je pas sur la bonne voie, mais ce que j'en retire c'est que chacun au fond de soi peu espérer autre chose, un changement total de sa vie mais s'il le fait trop tard, ce sera à l'excès(c'est ce qui se passe ici), et je pense que cet homme est pris par sa passion qui le dévorait sans doute auparavant mais qu'il ne pouvait exprimer et le remords de ne pas l'avoir fait plus tôt, une forme de culpabilité aussi par rapport à ce qu'il laisse derrière lui d'où cet façon de vivre, cette violence dans ses rapports avec la société et les autres et par la même une forme de destruction.
Quatrième de couverture
Pour une femme qui cherchait à se faire une situation dans le monde des lettre et des arts, ce mari n'offrait rien de flatteur….rien de saillant ne sauvait de la banalité ce personnage certes irréprochable mais désespérément quelconque….
Un jour pourtant, l'insignifiant Charles Strickland abandonne femme et foyer et part pour Paris, commence une carrière de peintre et se révèle un être énigmatique, fantasque et parfois odieux.
Misogyne, cruel envers soi et envers les autres, il sacrifie tout à une oeuvre vouée à l'incompréhension des contemporains, traitant avec un égal mépris ceux qui l'aiment et ceux qui le haïssent, exerçant sur tous une inexplicable fascination.
Séduit moins par l'artiste que par l'homme, l'auteur trace de ce personnage un portrait que la banalité des personnages environnants rend plus étrange encore
La finesse d'écriture et la concision d'anecdotes exemplaires donnent au roman une allure de mondanité t de bizarrerie qui s'accorde parfaitement avec le sujet
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