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Critique de Lellia
Alors que le 1er tome mettait tous les protagonistes en place et dévoilait petit à petit une partie plus complexe de l'histoire celui ci tranche véritablement dans le vif du sujet. Maintenant qu'Albekizan est mort que vont devenir les humains et comment Shandrazel, le nouveau roi, va t il pouvoir faire pour ramener un peu de paix dans son royaume ? Parce que si ce nouveau roi a bien des idées, on se rend rapidement compte qu'il n'a pas les épaules pour les mettre en place et que les humains comme les dragons ne sont pas prêt à pardonner et à évoluer.
Et c'est bien ce que j'ai trouvé de plus intéressant dans ce livre, ici nous n'avons pas d'un côté les gentils et de l'autre les méchants, comme dans toute nature humaine les deux facettes s'entrelacent finement et évoluent au fil des pages. Ceux qui semblent bons peuvent parfaitement se transformer en instrument de mort et vice versa. En plus, l'auteur a l'intelligence de les faire évoluer lentement et en donnant des raisons qui paraissent évidentes une fois dévoilées.
Comment des humains pourraient pardonner un millénaire d'esclavage et de privations en tout genre ? Et comment les dragons peuvent ils accepter que leurs existences se voient chamboulées quasiment du jour au lendemain ?
Et au milieu de tout cela nous avons aussi une critique assez intelligente de la religion et de ses dérives. Ses fanatiques qui peuvent mener au massacre des populations entières pour servir leurs visions (autant du côté des dragons que des humains d'ailleurs) et puis il y a la véritable histoire d'amour du livre, celle de Graxen le Gris et de Nadala la valkyrie, voués normalement à ne jamais pouvoir s'aimer et qui représentent pourtant les prémices d'une nouvelle ère. Alors oui, la fin se termine peut être un peu rapidement mais en même temps je ne peux que me demander comment tout cela va se terminer et je pense franchement dévorer le 3ème tome comme j'ai dévoré celui ci.
Et c'est bien ce que j'ai trouvé de plus intéressant dans ce livre, ici nous n'avons pas d'un côté les gentils et de l'autre les méchants, comme dans toute nature humaine les deux facettes s'entrelacent finement et évoluent au fil des pages. Ceux qui semblent bons peuvent parfaitement se transformer en instrument de mort et vice versa. En plus, l'auteur a l'intelligence de les faire évoluer lentement et en donnant des raisons qui paraissent évidentes une fois dévoilées.
Comment des humains pourraient pardonner un millénaire d'esclavage et de privations en tout genre ? Et comment les dragons peuvent ils accepter que leurs existences se voient chamboulées quasiment du jour au lendemain ?
Et au milieu de tout cela nous avons aussi une critique assez intelligente de la religion et de ses dérives. Ses fanatiques qui peuvent mener au massacre des populations entières pour servir leurs visions (autant du côté des dragons que des humains d'ailleurs) et puis il y a la véritable histoire d'amour du livre, celle de Graxen le Gris et de Nadala la valkyrie, voués normalement à ne jamais pouvoir s'aimer et qui représentent pourtant les prémices d'une nouvelle ère. Alors oui, la fin se termine peut être un peu rapidement mais en même temps je ne peux que me demander comment tout cela va se terminer et je pense franchement dévorer le 3ème tome comme j'ai dévoré celui ci.
