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Critique de Fifrildi


Les tambours de Pern s'intéresse davantage au personnage de Piemur, le jeune ami de Menolly. L'histoire commence quand sa voix mue (il était soprano) et qu'il ne peut plus chanter. Maître Robinton décide de faire de lui un tambour mais pas que…

Comme pour Menolly, arriver dans un groupe et s'avérer être plus doué que les autres attise les jalousies et donc les mauvaises farces. Un aspect qui ne présente pas beaucoup d'intérêt.

Les tambours ont une grande importance à Pern. C'est un moyen de communication. C'est un peu comme le morse mais sans signal radio.

Au cours d'une mission avec Sebell lors d'un rassemblement au fort de Nabol, Piemur vole un oeuf de lézard-de-feu et se retrouve « déporté » sur le continent méridional où vivent les Anciens exilés. D'autres aventures et défis l'y attendent.

Voilà qui clôture la trilogie des Hapistes mais certainement pas le cycle de Pern. Il me reste une dizaine de tomes à lire.



Challenge cycles/séries 2020
Challenge mauvais genre 2020
Challenge muti-auteures SFFF 2020
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