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Critique de VirginieCK
Toujours en admiration devant la couverture des Editions Monsieur Toussaint Louverture !
Dans ce tome on amorce la 2e Guerre mondiale et les enfants du clan Caskey sont en âge de travailler, d'aller à l'université, de faire des choix par eux-mêmes, de se tromper et de souffrir.
Elinor a un bon coup de mou mais une escapade et ça repart.
La famille de Queenie n'a pas de chance, et c'est là que je trouve que c'est abusé et pas logique mais bon.
Je vais lire la suite, je suis curieuse. le livre est très bien écrit dans le sens où l'on se sent à la maison, on a envie d'avoir des nouvelles de la famille. J'aime bien le lien qui se renforce entre Elinor et Frances et la toute fin avec James où l'on n'est pas sûr.e d'avoir compris. Et j'aime bien toutes ces choses qui arrivent, c'est factuel, pas de jugement, ni de prise de tête. J'apprécie aussi cette description de la société américaine à cette période. Ce n'est par contre pas un coup de foudre mais un bon divertissement pour ma part. Je me demande ce que ça donnerait en film entre la langueur des vies de Sud des Etats-Unis et les petits épisodes annexes inexplicables.
Dans ce tome on amorce la 2e Guerre mondiale et les enfants du clan Caskey sont en âge de travailler, d'aller à l'université, de faire des choix par eux-mêmes, de se tromper et de souffrir.
Elinor a un bon coup de mou mais une escapade et ça repart.
La famille de Queenie n'a pas de chance, et c'est là que je trouve que c'est abusé et pas logique mais bon.
Je vais lire la suite, je suis curieuse. le livre est très bien écrit dans le sens où l'on se sent à la maison, on a envie d'avoir des nouvelles de la famille. J'aime bien le lien qui se renforce entre Elinor et Frances et la toute fin avec James où l'on n'est pas sûr.e d'avoir compris. Et j'aime bien toutes ces choses qui arrivent, c'est factuel, pas de jugement, ni de prise de tête. J'apprécie aussi cette description de la société américaine à cette période. Ce n'est par contre pas un coup de foudre mais un bon divertissement pour ma part. Je me demande ce que ça donnerait en film entre la langueur des vies de Sud des Etats-Unis et les petits épisodes annexes inexplicables.
