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Critique de fnitter


Le vide intersidéral ?


On s'intéresse dans cet opus à Cordelia Vorkosigan. Son histoire ? Non, elle a déjà été évoquée dans un précédent roman. Aral est mort. Miles est Auditeur, marié, père d'une famille nombreuse et heureux. Mais Cordélia est Bétane et a encore des choses à vivre, notamment avec l'aide de camp de feu Aral. Vraiment ?


Bujold a fait le tour de son univers. Miles n'a plus rien à prouver. Elle aurait pu continuer avec son super enquêteur et poursuivre dans la lignée de Cryoburn (et faire mieux, parce qu'il faut avouer que malgré un commentaire un peu trop dithyrambique de ma part, ce tome n'étais pas si jojo). Non pas ce coup-ci.
Bujold a fait le tour de ses personnages. Mark et même ce « stupide » Ivan. (dans, cette fois une réussite : L'alliance).


Que reste-t-il donc ? Ben rien. Un tome totalement sans intérêt. Sans histoire, sans suspense, sans sens of wonder. Juste pour dire qu'elle soutient les bisexuels qui s'assument, qu'elle est probablement pro GPA et don de gamètes. Et que les veuves peuvent refaire leur vie.


OK, mais nous on s'en fout, on veut vibrer, on veut rire, on veut revenir aux essentiels. Mme BUJOLD, il est temps, soit de trouver un nouveau personnage de la saga et s'éclater avec (un enfant de Miles par exemple), soit de changer de série.
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