Dommage, je n'ai pas retrouvé Duane, Jacy et Sonny de "La denière séance", l'atmosphère si particulière de ce premier livre est complétement absente dans "
Texasville". Cette crise de nerf générale à Thalia m'a presque été éprouvante. J'ai du mal à croire que l'on puisse vivre quotidiennement dans cette folie ambiante et que cela reflète réellement l'Amérique contemporaine.
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