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Critique de Kenehan
Ebenezer est un heureux pentacentenaire. Grâce à une bête logée dans son grenier, il obtient tout ce que son désir peut imaginer, en échange de repas atypiques. A y regarder de plus près, c'est un pourri-gâter autocentré.
Quand la bête lui commande de lui servir un enfant contre la potion qui lui offre une jeunesse éternelle, Ebenezer redécouvre sa conscience. Mais l'envie de ne rien changer à son existence l'amène à rechercher un orphelin des plus exécrables. C'est alors qu'il rencontre la perturbatrice Bethany…
« La bête et Bethany » lorgne du côté de l'extravagance de Road Dahl. Les personnages et les situations farfelues s'enchaînent le temps qu'Ebenezer et Bethany s'apprivoisent sous la menace d'une bête gloutonne. L'histoire est merveilleusement servie avec des illustrations d'Isabelle Follath.
Je remercie Babelio et les éditions Bayard pour ce roman jeunesse efficace qui prévoit déjà une suite. Cette première incursion dans l'imaginaire de Jack Meggitt-Phillips pourrait se suffire à elle-même tant le final vise l'apaisement de l'intrigue. Pour un temps du moins…
Quand la bête lui commande de lui servir un enfant contre la potion qui lui offre une jeunesse éternelle, Ebenezer redécouvre sa conscience. Mais l'envie de ne rien changer à son existence l'amène à rechercher un orphelin des plus exécrables. C'est alors qu'il rencontre la perturbatrice Bethany…
« La bête et Bethany » lorgne du côté de l'extravagance de Road Dahl. Les personnages et les situations farfelues s'enchaînent le temps qu'Ebenezer et Bethany s'apprivoisent sous la menace d'une bête gloutonne. L'histoire est merveilleusement servie avec des illustrations d'Isabelle Follath.
Je remercie Babelio et les éditions Bayard pour ce roman jeunesse efficace qui prévoit déjà une suite. Cette première incursion dans l'imaginaire de Jack Meggitt-Phillips pourrait se suffire à elle-même tant le final vise l'apaisement de l'intrigue. Pour un temps du moins…
