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Critique de jovidalens


hiver 1922 : Alex, un amnésique quitte la clinique psychiatrique où il avait échoué pour un hébergement chez une veuve. le curé qui lui avait trouvé cette solution, est victime d'un accident à la sortie de la clinique : premières traces de sang.
Locataire peu apprécié, sa logeuse lui donne et les vêtements et l'équipement de peinture de son défunt mari. Il commence à peindre des portraits, et parmi ceux-ci, le beau visage d'une femme rousse.
Un des infirmiers de la clinique, avec lequel il s'est lié d'amitié, découvre ses portraits et lui propose de le présenter à Lucien, un amateur de peinture, qui fréquente le club de jazz, où il joue du piano.
Devant retourner au Père Lachaise, Alex ira le chercher à la Clinique pour l'y accompagner. A la clinique il croisera un nouvel interné, assassin d'une femme qui tient à Alex d'étranges propos. Et au Père Lachaise, Alex croise une très belle femme. Il s'égare dans ce cimetière avant de retrouver son ami et avant que ses cauchemars ne commencent.
Dessins, lavis somptueux. Palette qui mêle le gris aux jaunes les plus sombres. Quelques touches de rouge sous les flocons de neige, pour souligner un nez rubicond, un émoi de la peau , une menace ...
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