Merci aux éditions Zoé et à Babelio de m'avoir permis de lire ce livre, que je chronique avec un certain retard...
Le titre, et notamment sa parenthèse, m'intriguait. Dans le titre apparaît déjà la dualité entre les deux genres de ce livre : l'autofiction et la critique littéraire d'une nouvelle
De Balzac.
C'est la partie "autofiction" qui m'a le plus intéressée. Ce récit d'une rupture et de la tentative de la narratrice de tourner la page m'a rappelé
Annie Ernaux, auteure d'ailleurs citée. le style est ici très travaillé, et j'ai tout d'abord trouvé le récit trop bien écrit pour me laisser toucher véritablement par l'histoire. Je ressentais une espèce de décalage entre la violence des sentiments et le travail d'orfèvre de l'écriture. Puis, je me suis laissée emporter. Un auteur à découvrir !
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