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Critique de Parfumart
Fait penser à Bonheur d'occasion (qui est d'ailleurs nommé dans l'histoire), mais en beaucoup, beaucoup moins bon.
Talent littéraire faible. Beaucoup de longueurs remplies de détails insignifiants qui n'apportent rien à l'histoire, sinon relater à quoi pouvait ressembler le quotidien banal de gens ordinaires. Bonheur d'occasion fait ça tellement mieux!
Ils font du ménage, prennent le tramway, achètent des choses au magasin, préparent le repas, vont à l'école ou au travail, etc., ont des activités amicales, puis il y a cette situation triste qui survient, typique de cette époque contrôlée par la religion. Les dialogues sont faibles. Les descriptions ne sont pas trop mal, mais sans saveur.
Il y a un certain charme à se retrouver dans le Montréal des années 40, mais l'intrigue est ennuyante à bailler. Par moment, elle devient excitante, mais jamais pour longtemps, et pour la partie que j'ai lue, de façon prévisible.
Comment expliquer qu'il ait vendu plus d'un millions de livres? C'est facile à lire. C'est nostalgique pour les lecteurs ayant connu l'époque, et en gros... les québécois adorent retourner dans le passé pittoresque.
La limite de ma critique, c'est que j'ai abandonné à la moitié du 1er tome, après avoir donné une chance pendant 300 pages. Il y a tant d'excellents romans à lire!
Talent littéraire faible. Beaucoup de longueurs remplies de détails insignifiants qui n'apportent rien à l'histoire, sinon relater à quoi pouvait ressembler le quotidien banal de gens ordinaires. Bonheur d'occasion fait ça tellement mieux!
Ils font du ménage, prennent le tramway, achètent des choses au magasin, préparent le repas, vont à l'école ou au travail, etc., ont des activités amicales, puis il y a cette situation triste qui survient, typique de cette époque contrôlée par la religion. Les dialogues sont faibles. Les descriptions ne sont pas trop mal, mais sans saveur.
Il y a un certain charme à se retrouver dans le Montréal des années 40, mais l'intrigue est ennuyante à bailler. Par moment, elle devient excitante, mais jamais pour longtemps, et pour la partie que j'ai lue, de façon prévisible.
Comment expliquer qu'il ait vendu plus d'un millions de livres? C'est facile à lire. C'est nostalgique pour les lecteurs ayant connu l'époque, et en gros... les québécois adorent retourner dans le passé pittoresque.
La limite de ma critique, c'est que j'ai abandonné à la moitié du 1er tome, après avoir donné une chance pendant 300 pages. Il y a tant d'excellents romans à lire!
