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Critique de Marie2406
Nous sommes en 1962 à Blanc le Château bourgade du Loir et Cher.
Jean-Marie qui y est médecin s'apprête à accueillir Marc qu'il a rencontré en Algérie.
Mais si Jean-Marie mène une vie bien rangée de médecin de campagne, il n'en est rien pour Marc qui lui qui navigue dans les eaux troubles du contre-espionnage.
Dès son arrivée, Marc accompagnera Jean-Marie qui doit aller voir un malade employé de l'une des fermes éparpillées dans ce pays d'élevage et de chasse.
Pendant que Jean-Marie s'occupe de son malade, Marc fait la connaissance du propriétaire des lieux, un dénommé Blanc, qui lui fait même les honneurs de son taureau fétiche.
Un sacré morceau, mais doux comme un agneau.
Aussi, quand dans la soirée Jean-Marie doit retourner à la ferme pour constater la mort du dénommé Blanc embroché par son taureau, Marc en bon professionnel comprend immédiatement qu'il ne s'agit pas d'un accident.
Puis les morts vont se succéder, tous des accidents pensent les gendarmes, tous des meurtres pense Marc.
Il va donc mener sa propre enquête et tel un joueur de poker finir par abattre ses cartes pour confondre l'assassin au cours justement d'une partie de poker pas comme les autres.
Un polar bien sympathique avec quelques scènes qui font plus que prêter à sourire, notamment sa partie de poker finale avec des cartes revisitées permettant à Marc d'avoir un brelan de cadavres en mains, et l'évocation de cette France du début des années 60 dans laquelle le médecin de campagne faisait la tournée de ses malades en 2cv, pendant que Marc traverse toute la France au volant d'un bolide….. une DS.
Jean-Marie qui y est médecin s'apprête à accueillir Marc qu'il a rencontré en Algérie.
Mais si Jean-Marie mène une vie bien rangée de médecin de campagne, il n'en est rien pour Marc qui lui qui navigue dans les eaux troubles du contre-espionnage.
Dès son arrivée, Marc accompagnera Jean-Marie qui doit aller voir un malade employé de l'une des fermes éparpillées dans ce pays d'élevage et de chasse.
Pendant que Jean-Marie s'occupe de son malade, Marc fait la connaissance du propriétaire des lieux, un dénommé Blanc, qui lui fait même les honneurs de son taureau fétiche.
Un sacré morceau, mais doux comme un agneau.
Aussi, quand dans la soirée Jean-Marie doit retourner à la ferme pour constater la mort du dénommé Blanc embroché par son taureau, Marc en bon professionnel comprend immédiatement qu'il ne s'agit pas d'un accident.
Puis les morts vont se succéder, tous des accidents pensent les gendarmes, tous des meurtres pense Marc.
Il va donc mener sa propre enquête et tel un joueur de poker finir par abattre ses cartes pour confondre l'assassin au cours justement d'une partie de poker pas comme les autres.
Un polar bien sympathique avec quelques scènes qui font plus que prêter à sourire, notamment sa partie de poker finale avec des cartes revisitées permettant à Marc d'avoir un brelan de cadavres en mains, et l'évocation de cette France du début des années 60 dans laquelle le médecin de campagne faisait la tournée de ses malades en 2cv, pendant que Marc traverse toute la France au volant d'un bolide….. une DS.
