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Critique de florencem
Nous sommes toujours sur une très bonne lancée avec ce tome vingt-quatre de Karneval. Et sans que cela vous étonne, je trouve que c'est très plaisant, surtout quand je repense aux autres volumes qui n'avaient pas été vraiment à la hauteur, il y a un petit moment de cela. Encore quatre tomes pour découvrir le fin mot de l'histoire, et j'ai vraiment hâte, même si je sens que ce ne sera pas forcément très gai.
Mais pour l'instant nous poursuivons doucement notre petit bonhomme de chemin vers l'ultime affrontement. Yogi et Hirato sont toujours en mission dans la région de Gaghata. Je n'arrive toujours pas vraiment à comprendre ce qu'ils cherchent et on avance tout doucement de ce côté-là, mais il y a une ambiance assez pesante qui s'installe avec cette sensation de danger imminente. de quoi ne pas être très sereine pour la suite, même si le duo est vraiment très plaisant à voir interagir.
Jiki et Tsukitachi mènent aussi l'enquête mais cette fois-ci auprès d'orphelins qui disparaissent mystérieusement. Difficile de ne pas penser à des expériences faites par Kafka… Il y a toujours un petit côté glauque dans Karneval qui est très vite contrebalancé par une dose d'humour, la beauté des dessins et l'intrigue qui nous happe mais tout de même. La dérive de la science mais aussi le fanatisme sont pourtant pointé du doigt de plus en plus.
D'ailleurs les quelques révélations du début du tome concernant Naï notamment partent aussi dans cette direction. On voit petit à petit se dérouler toute la raison de ces aventures et surtout on arrive à comprendre pourquoi les membres de Kafka font ce qu'ils font. C'est au compte-goutte, mais c'est très bien dosé. Là encore pas énormément d'action mais ça ne manque pas du tout.
Gareki est lui aussi toujours à la recherche de réponses. Son duo avec le double de Yokata est intéressant d'ailleurs. J'aurais pensé que le jeune héros serait plus ébranlé que cela, mais il n'en est rien. On voit combien son esprit scientifique prend le dessus sur ses émotions et j'en suis ravie, car je n'aurais pas été vraiment fan de me retrouver face à un autre drame. Surtout maintenant.
Tout le monde est donc bien occupé. Pour l'instant très peu de réponses, et le fait que nos héros soient en petit groupe et éloignés les uns des autres n'est pas très rassurant pour moi. Mais on avance et c'est le plus important. La fin est par contre assez abrupte… Je suis très heureuse d'avoir le tome vingt-cinq sous la main car j'ai rarement vu une coupure aussi déstabilisante. Pas certaine que ce soit un choix judicieux car cela amène plus de frustration que de curiosité.
Mais pour l'instant nous poursuivons doucement notre petit bonhomme de chemin vers l'ultime affrontement. Yogi et Hirato sont toujours en mission dans la région de Gaghata. Je n'arrive toujours pas vraiment à comprendre ce qu'ils cherchent et on avance tout doucement de ce côté-là, mais il y a une ambiance assez pesante qui s'installe avec cette sensation de danger imminente. de quoi ne pas être très sereine pour la suite, même si le duo est vraiment très plaisant à voir interagir.
Jiki et Tsukitachi mènent aussi l'enquête mais cette fois-ci auprès d'orphelins qui disparaissent mystérieusement. Difficile de ne pas penser à des expériences faites par Kafka… Il y a toujours un petit côté glauque dans Karneval qui est très vite contrebalancé par une dose d'humour, la beauté des dessins et l'intrigue qui nous happe mais tout de même. La dérive de la science mais aussi le fanatisme sont pourtant pointé du doigt de plus en plus.
D'ailleurs les quelques révélations du début du tome concernant Naï notamment partent aussi dans cette direction. On voit petit à petit se dérouler toute la raison de ces aventures et surtout on arrive à comprendre pourquoi les membres de Kafka font ce qu'ils font. C'est au compte-goutte, mais c'est très bien dosé. Là encore pas énormément d'action mais ça ne manque pas du tout.
Gareki est lui aussi toujours à la recherche de réponses. Son duo avec le double de Yokata est intéressant d'ailleurs. J'aurais pensé que le jeune héros serait plus ébranlé que cela, mais il n'en est rien. On voit combien son esprit scientifique prend le dessus sur ses émotions et j'en suis ravie, car je n'aurais pas été vraiment fan de me retrouver face à un autre drame. Surtout maintenant.
Tout le monde est donc bien occupé. Pour l'instant très peu de réponses, et le fait que nos héros soient en petit groupe et éloignés les uns des autres n'est pas très rassurant pour moi. Mais on avance et c'est le plus important. La fin est par contre assez abrupte… Je suis très heureuse d'avoir le tome vingt-cinq sous la main car j'ai rarement vu une coupure aussi déstabilisante. Pas certaine que ce soit un choix judicieux car cela amène plus de frustration que de curiosité.
