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Critique de bobtazar



Voilà ce qui apparaît sur la quatrième de couverture et qui, comme de bien souvent, révèle un élément de l'intrigue. Et, comble du ridicule, un élément inexact ! le stagiaire de 3°, responsable de la rédaction du résumé, a encore frappé… Merci, le Seuil !
Dernier élément apparaissant sur cette quatrième de couverture, décidément un modèle du genre, le commentaire de Village Voice qualifiant Sam Millar de, je cite, « poète des ténèbres ». Des ténèbres, cela est incontestable. Pour le côté poète, par contre, je suis plus dubitatif. Ou alors, un poète parlant à foison de cul, de bite, d'étron et de chiasse, ce qui, après tout, n'est pas forcément incompatible.
En tout cas, j'ai adhéré immédiatement à cet univers bien glauque constitué par les bas-fonds de Belfast, ainsi, et surtout, qu'au personnage torturé de Karl Kane (prisonnier du souvenir du viol et du meurtre de sa mère alors qu'il était enfant). Un privé dont le sens de la répartie, l'humour noir et grinçant et les méthodes anticonformistes (sans oublier un grand sens de l'humanisme) constituent à mon sens l'intérêt principal de la série. Série que je vais de ce pas dévorer, du coup, mais cette fois-ci dans l'ordre, Au scalpel, le tome de la découverte pour moi, étant en réalité le quatrième et dernier.
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