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Critique de DD78
Un pavé de 700 pages d'un auteur contemporain, et oui j'avais osé il y a quelques années m'éloigner de mon cher XIXème siècle ! Au final ce livre m'a laissé une impression bizarre.
Il raconte en effet comment un new-yorkais de 33 ans, l'auteur, s'est mué en un écrivain suite à sa rencontre et à son amour pour une femme, Mara (June dans la vraie vie). Tout d'abord, drôle d'incarnation de la passion amoureuse que cet homme qui baise à droite à gauche toute femme tant soit peu en chaleur, ce qui bizarrement dans cette période des années 50 à New-York semble assez répandu. Et puis surtout quelle étroitesse d'esprit pour un écrivain, un auteur, un intellectuel que de considérer toute personne étrangère à son art comme inférieure, bornée dans une vie qu'il juge routinière et mortuaire: quelle facilité de se considérer ainsi alors que pendant toute la période narrée dans le livre, il n'arrive pas à écrire une seule ligne d'un quelconque roman !
Quant aux scènes de sexe d'une verdeur et d'un... réalisme saisissant, si elles ont éveillé mes sens de manière bien naturelle, elles se comparent plutôt à un acte de vantardise virile typiquement masculine. Conclusion: Henri Miller en avait-il une grosse ?
Bref, vous l'aurez compris, un livre qui fait réagir et qui ne laisse pas indifférent !
Il raconte en effet comment un new-yorkais de 33 ans, l'auteur, s'est mué en un écrivain suite à sa rencontre et à son amour pour une femme, Mara (June dans la vraie vie). Tout d'abord, drôle d'incarnation de la passion amoureuse que cet homme qui baise à droite à gauche toute femme tant soit peu en chaleur, ce qui bizarrement dans cette période des années 50 à New-York semble assez répandu. Et puis surtout quelle étroitesse d'esprit pour un écrivain, un auteur, un intellectuel que de considérer toute personne étrangère à son art comme inférieure, bornée dans une vie qu'il juge routinière et mortuaire: quelle facilité de se considérer ainsi alors que pendant toute la période narrée dans le livre, il n'arrive pas à écrire une seule ligne d'un quelconque roman !
Quant aux scènes de sexe d'une verdeur et d'un... réalisme saisissant, si elles ont éveillé mes sens de manière bien naturelle, elles se comparent plutôt à un acte de vantardise virile typiquement masculine. Conclusion: Henri Miller en avait-il une grosse ?
Bref, vous l'aurez compris, un livre qui fait réagir et qui ne laisse pas indifférent !
