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Critique de keisha


Bon, ça démarre ainsi :(bande annonce Gravity)
enfin, presque.
Jaume Roiq Stevens refuse de quitter sa station orbitale et se retrouve seul dans l'espace, observant la Terre.

Ensuite?
"Allo, Houston?"
Aucune réponse.

Il revient sur Terre, découvre qu'il n'y a plus un chat un être humain. C'est l'ambiance Demain les chiens

Enfin, plus exactement, les cochons.

Durant les 100 premières pages, je jubile, je ronge mes ongles, je rigole, je flippe à mort.

"Désemparé, ça veut dire : plus emparé? Qu'on était emparé et qu'on ne l'est plus? Mais qu'est-ce qui s'est emparé de moi pour me laisser tout d'un coup brutalement si désemparé? Sans remparts. Déparé, sans bijoux. Dépris?"

J'aime bien l'écriture, en plus.

Comme l'on comprend très vite que Jaume est le dernier homme, pour dynamiser la narration, apparaissent des dialogues entre Jaume, Miss Echampson, Lincoln Lawson, sa peur, Waterfull, sa tristesse, sa mémoire. Il écrit son journal.

Page 200 (sur 514) au moment du voyage des cochons dans le Transmongolien, je lâche prise. Trop long. Pas envie de continuer le voyage sur une Terre sans hommes. L'impression que j'ai compris, pas la peine d'en ajouter. Un regard sur les dernières pages. Oui, bon. L'impression d'avoir lu le plus génial et de pouvoir en rester là?

Lien : http://enlisantenvoyageant.b..
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