On aimerait faire l'éloge d'un tel récit dans les prisons des régimes dictatoriaux de la Grèce d'après la seconde guerre mondiale et la guerre civile qui s'ensuivit. Malgré quelques réflexions intéressantes à ce sujet, le propos fait suivre les invectives à l'égard des gardiens et bourreaux, pendant de nombreuses pages qui paraissent très proches les unes des autres. L'homophobie et le sexisme très présents dans les insultes, n'aident pas à se ranger du côté du narrateur opprimé, même si comme l'a fait remarquer une critique, il s'agit d'une sorte d'étape transitoire peut-être.
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