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Critique de kobaitchi
Sur fond d'une histoire assez banale, deux amis d'enfance dont l'un est amoureux de l'autre, Hitomi Mito nous propose une histoire assez mignonne sur deux lycéens bagarreurs.
On s'attache assez vite à Nastuki-la-voix-de-la-raison et on comprend aisément les sentiments contradictoires qui le tiraillent. le dégout de lui même, l'affection démesurée pour Takumi, la peur de tout perdre… Même si, forcément, le format one-shot ne permet pas de les détailler trop longuement. Mais ce n'est pas un mal, on évite ainsi les histoires à rallonges à la shojo où les personnages se tournent autour pendant 15 tomes.
Le coté voyou et ce qu'il aurait pu amener est un peu laissé de coté dans la seconde partie du manga, qui en profite pour approfondir davantage leur relation naissante. Avec ce qu'elle implique de doute et de malaise. le coté fleur bleue de Takumi est en revanche davantage mis en avant dans cette partie alors qu'il n'était qu'effleuré au départ.
Le trait facilement reconnaissable est assez épuré. Ce qui ne plaira pas à tout le monde mais personnellement j'aime beaucoup. Sérieusement, rien que la couverture est trop classe. Je pourrais m'en faire un poster si je m'écoutais.
(Lire la suite sur le blog)
Lien : http://kobaitchi.com/the-fal..
On s'attache assez vite à Nastuki-la-voix-de-la-raison et on comprend aisément les sentiments contradictoires qui le tiraillent. le dégout de lui même, l'affection démesurée pour Takumi, la peur de tout perdre… Même si, forcément, le format one-shot ne permet pas de les détailler trop longuement. Mais ce n'est pas un mal, on évite ainsi les histoires à rallonges à la shojo où les personnages se tournent autour pendant 15 tomes.
Le coté voyou et ce qu'il aurait pu amener est un peu laissé de coté dans la seconde partie du manga, qui en profite pour approfondir davantage leur relation naissante. Avec ce qu'elle implique de doute et de malaise. le coté fleur bleue de Takumi est en revanche davantage mis en avant dans cette partie alors qu'il n'était qu'effleuré au départ.
Le trait facilement reconnaissable est assez épuré. Ce qui ne plaira pas à tout le monde mais personnellement j'aime beaucoup. Sérieusement, rien que la couverture est trop classe. Je pourrais m'en faire un poster si je m'écoutais.
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