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Critique de valerie666
J'ai lu ce livre avec plaisir et en riant souvent.
Avec étonnement, j'ai découvert au bout de quelques pages que l'auteur de « un mai si dévoué » était… une femme ! Catherine Monroy emploie la première personne du singulier pour faire parler son anti héros avec beaucoup de conviction et une autodérision très… masculine !
Son looser de Tom m'a fait penser aux personnages principaux de Fabrice Caro ou encore de Joseph Conolly (« embrassez qui vous voudrez », « vacances anglaises »,). Je me suis régalée de ses déboires, j'ai ri de ses traits d'humour souvent misogynes.
Les volte-face des personnages d'un ami si dévoué m'oint parfois semblé un peu rapides ou inexpliqués, difficiles à cerner. Inclassables mais hilarants, les personnages sont tous assez caricaturaux, mais aussi attachants.
La scénariste Catherine Monroy fait souvent référence à des films ou séries. Cet auteur est pour moi une vraie découverte, j'ai envie d'essayer d'autres ouvrages pour une lecture simple et drôle, en un mot : un feel good pas gnangnan
Avec étonnement, j'ai découvert au bout de quelques pages que l'auteur de « un mai si dévoué » était… une femme ! Catherine Monroy emploie la première personne du singulier pour faire parler son anti héros avec beaucoup de conviction et une autodérision très… masculine !
Son looser de Tom m'a fait penser aux personnages principaux de Fabrice Caro ou encore de Joseph Conolly (« embrassez qui vous voudrez », « vacances anglaises »,). Je me suis régalée de ses déboires, j'ai ri de ses traits d'humour souvent misogynes.
Les volte-face des personnages d'un ami si dévoué m'oint parfois semblé un peu rapides ou inexpliqués, difficiles à cerner. Inclassables mais hilarants, les personnages sont tous assez caricaturaux, mais aussi attachants.
La scénariste Catherine Monroy fait souvent référence à des films ou séries. Cet auteur est pour moi une vraie découverte, j'ai envie d'essayer d'autres ouvrages pour une lecture simple et drôle, en un mot : un feel good pas gnangnan
