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Critique de LeClos
Tchaïkovski et son casse- noisette, Venise ses canaux, son patrimoine culturel et architectural. le roman avait tout pour plaire et j'ai été ravie de le recevoir pour ma première participation à une masse critique.
le narrateur a découvert une vieille malle dans le palazzo Merhi où des documents_ extraits de lettres, croquis, feuillets de musique …_ attestent d'un séjour secret de Tchaïkovski à Venise. le compositeur était alors l'invité d'un certain docteur Barparoz qui espionnait ses hôtes, en récupérant leurs brouillons dans leur poubelle. C'est ainsi que nous allons apprendre à mieux connaître ce génial musicien.
L'intrigue démarre bien, mettant en scène Tchaïkovski et son amour passionné sans espoir pour son jeune neveu, avec de beaux passages sur les sentiments de culpabilité, de jalousie et de frustration.
Mais très vite on se perd. On suit en parallèle plusieurs intrigues: l'histoire du narrateur et de ses déboires amoureux, celle de Tchaïkovski dans la Russie décadente de la fin du XIXème siècle, mais encore celle de Tchaïkovski à Venise. On croise de nombreux personnages, italiens, Russes,…, contemporains du narrateur, mais aussi contemporains du musicien, ex-épouse, cantatrice, amis, amants, rivaux, domestiques et, si cela ne suffisait pas, les personnages correspondant aux déguisements qui hantent le palazzo….
Ces histoires se croisent et s'entremêlent. On est balloté d'un siècle à l'autre, d'un personnage à l'autre. Très vite, on perd le fil de l'histoire primitive, qui du coup devient "fumeuse". J'espérais retrouver dans le livre la féérie de Casse noisette et de Venise, j'y ai trouvé une cacophonie jouée dans un palais poussiéreux, que je me suis obligée à lire jusqu'au bout en espérant, en vain, une rédemption finale.
le narrateur a découvert une vieille malle dans le palazzo Merhi où des documents_ extraits de lettres, croquis, feuillets de musique …_ attestent d'un séjour secret de Tchaïkovski à Venise. le compositeur était alors l'invité d'un certain docteur Barparoz qui espionnait ses hôtes, en récupérant leurs brouillons dans leur poubelle. C'est ainsi que nous allons apprendre à mieux connaître ce génial musicien.
L'intrigue démarre bien, mettant en scène Tchaïkovski et son amour passionné sans espoir pour son jeune neveu, avec de beaux passages sur les sentiments de culpabilité, de jalousie et de frustration.
Mais très vite on se perd. On suit en parallèle plusieurs intrigues: l'histoire du narrateur et de ses déboires amoureux, celle de Tchaïkovski dans la Russie décadente de la fin du XIXème siècle, mais encore celle de Tchaïkovski à Venise. On croise de nombreux personnages, italiens, Russes,…, contemporains du narrateur, mais aussi contemporains du musicien, ex-épouse, cantatrice, amis, amants, rivaux, domestiques et, si cela ne suffisait pas, les personnages correspondant aux déguisements qui hantent le palazzo….
Ces histoires se croisent et s'entremêlent. On est balloté d'un siècle à l'autre, d'un personnage à l'autre. Très vite, on perd le fil de l'histoire primitive, qui du coup devient "fumeuse". J'espérais retrouver dans le livre la féérie de Casse noisette et de Venise, j'y ai trouvé une cacophonie jouée dans un palais poussiéreux, que je me suis obligée à lire jusqu'au bout en espérant, en vain, une rédemption finale.
