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Critique de sixou
Ça se lit vite, très vite, 300 pages en 3 heures.
C'est d'une facilité sans définition, mignon, un peu sexe quand même, mais c'est bien aussi. J'ai parfois souri sur les références du livre fétiche de mon épouse (Orgueil et préjugés....je vais le lire) et parfois, je me suis vu devant un de ces téléfilms de l'après-midi sur les chaînes françaises. J'ai aussi beaucoup médité quant à l'usage addictifs de cet appareil sensé nous rapprocher, qui nous éloigne peu à peu. de ce que nous attendons et ne recevons pas de lui, des interprétations que chacun met au pseudo silence de celui au bout....je vous parle du téléphone portable.
Du facile, du sourire, rien de grave ni de surprenant mais un petit plaisir simple.
Et donc, l'homme idéal ?
Eh bien, je ne sais pas si je ressemble à celui du livre. Il est blon et je suis brun.
Il traduit des livres quand j'en écris
Il b....pardon, il fait l'amour comme un Dieu et embrasse tel Apollon et sur ce point, je ne peux pas me prononcer...trop timide je suis.
Mais non, je ne suis pas l'homme idéal parce que vous aviez raison, il n'existe pas.
Trop cliché, trop beau pour être vrai. A moins que les soucis de la vie n'existent pas, pas d'enfants, pas d'argent, pas de belle-mère. L'homme idéal serait alors celui d'après, une fois les plâtres essuyés et les frustrations avalées.
Définitivement, je ne le suis pas et je m'en moque. Je le savais de longue date et je ne cours pas après cet adjectif. Je suis l'idéal de celle qui m'aime, celle à qui je conviens, qui a saisi que mes défauts trouvaient naissance dans mes qualités.
Mercià toutes (ah mesdames, vous êtes formidables dans l'ironie et l'humour)et tous toutefois, vous m'avez bien fait rire et rien que pour cela, vous êtes le public idéal !!!!
C'est d'une facilité sans définition, mignon, un peu sexe quand même, mais c'est bien aussi. J'ai parfois souri sur les références du livre fétiche de mon épouse (Orgueil et préjugés....je vais le lire) et parfois, je me suis vu devant un de ces téléfilms de l'après-midi sur les chaînes françaises. J'ai aussi beaucoup médité quant à l'usage addictifs de cet appareil sensé nous rapprocher, qui nous éloigne peu à peu. de ce que nous attendons et ne recevons pas de lui, des interprétations que chacun met au pseudo silence de celui au bout....je vous parle du téléphone portable.
Du facile, du sourire, rien de grave ni de surprenant mais un petit plaisir simple.
Et donc, l'homme idéal ?
Eh bien, je ne sais pas si je ressemble à celui du livre. Il est blon et je suis brun.
Il traduit des livres quand j'en écris
Il b....pardon, il fait l'amour comme un Dieu et embrasse tel Apollon et sur ce point, je ne peux pas me prononcer...trop timide je suis.
Mais non, je ne suis pas l'homme idéal parce que vous aviez raison, il n'existe pas.
Trop cliché, trop beau pour être vrai. A moins que les soucis de la vie n'existent pas, pas d'enfants, pas d'argent, pas de belle-mère. L'homme idéal serait alors celui d'après, une fois les plâtres essuyés et les frustrations avalées.
Définitivement, je ne le suis pas et je m'en moque. Je le savais de longue date et je ne cours pas après cet adjectif. Je suis l'idéal de celle qui m'aime, celle à qui je conviens, qui a saisi que mes défauts trouvaient naissance dans mes qualités.
Mercià toutes (ah mesdames, vous êtes formidables dans l'ironie et l'humour)et tous toutefois, vous m'avez bien fait rire et rien que pour cela, vous êtes le public idéal !!!!
