>
Critique de Transfuge
Dans une Angleterre du futur, "1984" et "le meilleur des mondes" ont fait école. Ainsi, les Citoyens sont soignés aux petits oignons, à condition qu'ils fassent exactement ce qu'on attend d'eux; et pour éviter tout débordement, on leur diffuse un petit cocktail de drogues sur mesure depuis leur plus jeune âge. Ceux qui sont réfractaires au système (consciemment ou génétiquement) deviennent des Exclus, ne bénéficiant d'aucun droit.
Une poignée d'entre eux essaie de résister, d'autant plus qu'ils sont décimés à petit feu par la peste. Qui pourra (peut-être) rétablir le libre-arbitre dans la Cité? Eh bien un quatuor d'adolescents que l'on a élevé dans ce sens, dans un château isolé de tout...
Un roman qui débute bien, mais qui se perd ensuite: trop peu de surprise dans le déroulement des événements (sauf la chute, étonnante), quelques digressions philosophiques intéressantes mais qui tombent comme un cheveu sur la soupe, et des références littéraires qui ne parleront pas à tous les ados. Bref, une histoire qui n'arrive pas à se démarquer des romans de ce genre (il faut dire que la concurrence est rude).
Un récit à proposer toutefois aux amateurs du genre, dès treize ans.
Une poignée d'entre eux essaie de résister, d'autant plus qu'ils sont décimés à petit feu par la peste. Qui pourra (peut-être) rétablir le libre-arbitre dans la Cité? Eh bien un quatuor d'adolescents que l'on a élevé dans ce sens, dans un château isolé de tout...
Un roman qui débute bien, mais qui se perd ensuite: trop peu de surprise dans le déroulement des événements (sauf la chute, étonnante), quelques digressions philosophiques intéressantes mais qui tombent comme un cheveu sur la soupe, et des références littéraires qui ne parleront pas à tous les ados. Bref, une histoire qui n'arrive pas à se démarquer des romans de ce genre (il faut dire que la concurrence est rude).
Un récit à proposer toutefois aux amateurs du genre, dès treize ans.
