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Critique de Andraste
Jonas vit avec sa mère, qui souffre d'un handicap depuis qu'elle s'est faite renversée par un camion.
Il lui prodigue des soins, est d'un soutient indéfectible pour elle et fait tout pour qu'elle se sente bien. Il lui épargne ses doutes, son mal être et ses questions existentielles, il ne veut pas la préoccuper.
Grand fan de musique et doté d'une voix unique, il chante avec des camarades de classe. Il se retrouve alors dans un endroit, près de son école. Une grande chapelle dans laquelle il aime se réfugiée lui permet de faire tomber son masque d'enfant, il se laisse aller et pleure après avoir été le bouc émissaire de ses camarades de classe.
Il fait alors la rencontre d'un fantôme qui joue du piano... une longue conversation entre les deux commence alors. L'homme-fantôme raconte alors à Jonas sa vie passée et sa belle histoire d'amitié avec le grand et unique Mozart.
J'ai trouvé l'histoire bien ficelée, comme à son habitude, l'auteur fait preuve d'une imagination débordante. La trame est intéressante et les personnages sont profonds. C'est une lecture plaisante qui est aussi dépaysante, avec ces monuments typiquement anglais et ces expressions allemandes de Mozart, qui nous font sourire parce qu'on ne comprends strictement rien ( enfin pour celles et ceux qui n'ont pas pris option allemand à l'école ! ).
On apprends des choses sur le prodige Mozart, sa notoriété, sa joie de vivre, ses rires et ses rêves. On sent que cette étiquette qu'on lui collait, de génie, impactait beaucoup au quotidien. Sa présence dans l'oeuvre permet d'aborder des thématiques culturelles et historiques ludiques et innovantes pour les plus jeunes.
Une histoire accompagnée d'illustrations naïves et colorées qui ajoutent une petite touche de gaieté et de lumière, à cette histoire touchante possédant un fond triste.
Il lui prodigue des soins, est d'un soutient indéfectible pour elle et fait tout pour qu'elle se sente bien. Il lui épargne ses doutes, son mal être et ses questions existentielles, il ne veut pas la préoccuper.
Grand fan de musique et doté d'une voix unique, il chante avec des camarades de classe. Il se retrouve alors dans un endroit, près de son école. Une grande chapelle dans laquelle il aime se réfugiée lui permet de faire tomber son masque d'enfant, il se laisse aller et pleure après avoir été le bouc émissaire de ses camarades de classe.
Il fait alors la rencontre d'un fantôme qui joue du piano... une longue conversation entre les deux commence alors. L'homme-fantôme raconte alors à Jonas sa vie passée et sa belle histoire d'amitié avec le grand et unique Mozart.
J'ai trouvé l'histoire bien ficelée, comme à son habitude, l'auteur fait preuve d'une imagination débordante. La trame est intéressante et les personnages sont profonds. C'est une lecture plaisante qui est aussi dépaysante, avec ces monuments typiquement anglais et ces expressions allemandes de Mozart, qui nous font sourire parce qu'on ne comprends strictement rien ( enfin pour celles et ceux qui n'ont pas pris option allemand à l'école ! ).
On apprends des choses sur le prodige Mozart, sa notoriété, sa joie de vivre, ses rires et ses rêves. On sent que cette étiquette qu'on lui collait, de génie, impactait beaucoup au quotidien. Sa présence dans l'oeuvre permet d'aborder des thématiques culturelles et historiques ludiques et innovantes pour les plus jeunes.
Une histoire accompagnée d'illustrations naïves et colorées qui ajoutent une petite touche de gaieté et de lumière, à cette histoire touchante possédant un fond triste.
