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Critique de markko31


Un mythe extirpé de mes souvenirs adolescents. Mais oui, souvenez-vous (enfin, pour les pas tout jeunes), en plein dans les années 90 (oui parce que je suis QUAND MÊME trop jeune pour l'avoir vécu en direct) , le revival des Doors, le film d'Oliver Stone, Val Kilmer avec 30 kilos de moins qu'aujourd'hui…

Et maintenant, qu'en reste-t-il ?
Difficile de lire Jim Morrison sans avoir en tête les images de ce félin gracieux et nonchalant. Sacré charisme.
Ici, on navigue entre psychédélisme abscons, bribes embrumées et simplicité de haïku.
On comprend à quel point les mots de Morrison sont indissociables d'une époque perdue (troublée, honnie, bénie, au choix) et ont besoin de la musique pour donner leur pleine mesure, distiller leur sensualité et leur venin. Tout en faisant preuve d'une certaine innocence oubliée par les générations suivantes, mais dénuée de naïveté (Morrison n'était pas un inconditionnel du Flower Power).

Alors il faut se souvenir
Alabama Song
Et aussi The Crystal Ship
Et aussi The Unknown Soldier
Et aussi People are Strange
Et Riders on the Storm, Break on Through, Light my Fire
Et puis The End

Cétait quand même bien. Et les écouter avec les potes de mes 16 ans c'était encore mieux.
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