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Critique de 4_de_couv
Les coulisses du métier d'avocat.
Maître Moyard, alias Maître Mô, nous entraîne dans les coulisses de son métier d'avocat en nous livrant 16 histoires extraites de sa carrière.
Même si je pense que ce livre est plus à même de plaire à toute personne rompue à l'application des lois, Maitre Mô a su, malgré une écriture peu fluide à mon goût, rendre abordable le sujet pour l'ignorante que je suis sur les procédures judiciaires et pénales.
J'ai eu le sentiment qu'il avait construit ce livre comme il construisait ses plaidoiries, c'est-à-dire crescendo… pour terminer avec un récit personnel, particulièrement émouvant et poignant.
L'émotion, l'incompréhension, l'humour même parfois, mais le très sordide aussi émaillent ces histoires qui, pour cet avocat humaniste n'étaient pas que des dossiers ; il y avait un judiciable, un délit, un crime et des familles, et on sent au travers de ses écrits son implication, l'énergie déployée pour défendre les convictions qu'il avait sur chacun de ses clients.
Il y a aussi un système judiciaire, loin d'être parfait, loin d'être équitable, voire loin d'être cohérent parfois, mais ne serait-ce pas parce qu'il est mis en oeuvre par des humains pour d'autres humains… et l'erreur n'est-elle pas humaine?
Maître Moyart est décédé en 2021 à l'âge de 53 ans.
⚠ certains passages sont vraiment sordides, donc difficile à lire.
Maître Moyard, alias Maître Mô, nous entraîne dans les coulisses de son métier d'avocat en nous livrant 16 histoires extraites de sa carrière.
Même si je pense que ce livre est plus à même de plaire à toute personne rompue à l'application des lois, Maitre Mô a su, malgré une écriture peu fluide à mon goût, rendre abordable le sujet pour l'ignorante que je suis sur les procédures judiciaires et pénales.
J'ai eu le sentiment qu'il avait construit ce livre comme il construisait ses plaidoiries, c'est-à-dire crescendo… pour terminer avec un récit personnel, particulièrement émouvant et poignant.
L'émotion, l'incompréhension, l'humour même parfois, mais le très sordide aussi émaillent ces histoires qui, pour cet avocat humaniste n'étaient pas que des dossiers ; il y avait un judiciable, un délit, un crime et des familles, et on sent au travers de ses écrits son implication, l'énergie déployée pour défendre les convictions qu'il avait sur chacun de ses clients.
Il y a aussi un système judiciaire, loin d'être parfait, loin d'être équitable, voire loin d'être cohérent parfois, mais ne serait-ce pas parce qu'il est mis en oeuvre par des humains pour d'autres humains… et l'erreur n'est-elle pas humaine?
Maître Moyart est décédé en 2021 à l'âge de 53 ans.
⚠ certains passages sont vraiment sordides, donc difficile à lire.
