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Critique de lechristophe
Huitième numéro de la revue "Multimondes" et finalement dernier à paraître à l'été 2000.
Les sujets abordés sont une nouvelle fois très hétéroclites. Une interview de Alejandro Jodorowsky accompagnée d'une présentation de son oeuvre "Caste des Métabarons-L'Incal" côtoie un article sur les légendes celtiques autour des menhirs. Une analyse psychologique de Sherlock Holmes voisine avec un article sur les trésors restant dans les épaves coulées au début du 20e siècle, et avec un autre présentant les livres de jeunesse "Dinotopia".
Le dossier central concerne les orcs, gobelins et autres trolls. Mais après une bonne entame avec un article à la gloire des Peaux-Vertes et une nouvelle intéressante, le dossier termine en eau de boudin avec les jeux orcs (bof) et un jeu de plateau à découper.
Ce qui m'a le plus étonné dans cet ultime numéro c'est l'absence des sources. Généralement, à chaque article, les journalistes indiquaient les romans, BD, jeux vidéo, films qui les avaient inspirés. Mais ici, rien, même pour le dossier sur les orcs. Les romans de Conan Doyle ne sont même pas cités pour l'article sur Sherlock.
Pour finir, pourquoi cette couverture ? Dessinée par Boris Vallejo, elle illustre le roman de Robert Jordan "Conan the Magnificent". Or, il n'y a rien dans ce numéro s'approchant de près ou de loin à de l'heroic fantasy. Mystère...
Les sujets abordés sont une nouvelle fois très hétéroclites. Une interview de Alejandro Jodorowsky accompagnée d'une présentation de son oeuvre "Caste des Métabarons-L'Incal" côtoie un article sur les légendes celtiques autour des menhirs. Une analyse psychologique de Sherlock Holmes voisine avec un article sur les trésors restant dans les épaves coulées au début du 20e siècle, et avec un autre présentant les livres de jeunesse "Dinotopia".
Le dossier central concerne les orcs, gobelins et autres trolls. Mais après une bonne entame avec un article à la gloire des Peaux-Vertes et une nouvelle intéressante, le dossier termine en eau de boudin avec les jeux orcs (bof) et un jeu de plateau à découper.
Ce qui m'a le plus étonné dans cet ultime numéro c'est l'absence des sources. Généralement, à chaque article, les journalistes indiquaient les romans, BD, jeux vidéo, films qui les avaient inspirés. Mais ici, rien, même pour le dossier sur les orcs. Les romans de Conan Doyle ne sont même pas cités pour l'article sur Sherlock.
Pour finir, pourquoi cette couverture ? Dessinée par Boris Vallejo, elle illustre le roman de Robert Jordan "Conan the Magnificent". Or, il n'y a rien dans ce numéro s'approchant de près ou de loin à de l'heroic fantasy. Mystère...
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