En bibliothèque ou librairie, feuilleter un livre de Marie N'Diaye ne m'avais jamais plu. Les critiques que j'en avais lues ne m'avaient pas poussé à lire non plus.
Et puis chez une amie, j'ai ouvert celui-là, commencé à lire les 10 premières pages. Et je n'ai pas oublié ce souffle profond pour dire l'indicible, ce voyage vers l'intérieur des êtres avec les yeux grands ouverts de celui qui sait et DOIT nommer et dire, ce style particulier.
Quelques jours après j'étais toujours hantée par le personnage de Norah. j'ai commandé le livre vers 2h du matin sur ma liseuse pour le continuer.
je l'ai dévoré en quelques jours, entre deux concerts pendant le festival Jazz In Marciac.
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